Bonjour! Je m'appelle Danielle Heaven McFly mais mes amis me surnomment Dany. Je suis né(e) à Washington le 14/06/2011 et de ce fait j'ai donc 14 ans. Côté coeur, je suis célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est indécise. Je suis en 2ème année et je fais partis du club d'art plastique. Si j'étais une célébrité je serait Juno Temple et un artiste Mina

Dany est quelqu'un d'assez spéciale. Elle est assez enfantine quand elle vaut mais en même temps vu son âge on ne peut pas lui demander d'agir comme une véritable adulte. Ho bien sûr, ce n'est pas non plus une gamine sans foi ni loi. Disons plutôt que Dany n'a pas le sens des responsabilités et que pour elle tout ce qu'elle fait est légitime. Avant de faire quoique ce soit, elle n'a pas le réflexe de se dire « est-ce bien ou mal ? » Non elle le fait et voit après ce que ça donne. Irresponsable et impulsive donc. Dany est une fille relativement étrange qui est capable si il lui arrive quelque chose de grave, comme un incendie dans sa maison ou une explosion à côté d'elle, est capable de crier « ouah c'était trop bien on recommence ». En autre chose, cette fille aime le danger. Elle n'ira pas non plus provoquer quelqu'un pour le plaisir de se faire taper même si parfois ça lui arrive d'insulter quelqu'un qu'elle ne devrait pas. Il est un peu difficile de lui trouver des qualités ou même des défauts assez précis. Cette file a quand même un réel problème psychologique. Manipulable, tête en l'air ça oui elle l'est. Malgré tout, Dany possède une classe quand il s'agit de se mettre dans le pétrin et une certaine chance pour s 'en sortir. Vous comprendrez qu'il est plutôt difficile de décrire cette chère jeune fille d'à peine 15 ans. Outre son côté enfantin, et son goût pour le danger, Dany n'est pas non plus quelqu'un de méchant et elle est d'ailleurs beaucoup plus aimante que d'autres personnes. Elle ne fait pas attention aux besoins des autres et n'hésitera pas à prendre quelqu'un dans ses bras même si ça peut se retourner contre elle.

Si vous pensez lire une histoire larmoyante ici, vous pouvez passer votre chemin sur la fiche d'à côté. Comment ça je ne suis pas gentille ? Ho croyez-moi il y a pire. Quoi qu'il en soit mon histoire est banale en tout point, sauf peut-être le fait que je sois maintenant dans cet établissement. Vous savez vous n'entendrez pas parler de meurtre, de sang ou même de ... de ... je ne sais pas trop quoi en plus ... de ce à quoi vous vous attendez. Non en fait vous ne pouvez vous attendre à rien de moi. Rire Comment ça vous ne riez pas ? Pourtant, je suis drôle ! Non ? Bon passons.


Je suis née donc dans une famille normalement constitué d'un père, d'une mère, d'un grand frère et d'une grande soeur. Cette dernière était plus vieille que moi de six ans tandis que mon frère lui ne l'étais que de trois ans. C'est assez régulier pensez-vous pour mes parents. Je me suis toujours très bien entendus avec mon frère et ma mère, alors que j'avais beaucoup plus de mal avec mon père et ma soeur. Comme beaucoup de famille, mes parents ont divorcés cinq après ma naissance, pensant sûrement qu'ils pourraient tenir pour nous. Mais quand on aime plus une personne ça ne sert à rien de rester. Je suis restée avec ma mère qui était coiffeuse ainsi que mon frère et j'allais de temps à autre voir mon père histoire de lui plaire. Cela aurait été mon choix que je n'aurais pas bougé d'un pouce. Je serai restée assise sur mon lit en attendant que ce soit lui qui me montre un signe d'affection. De l'affection, je n'en ai jamais eu vraiment de sa part. Il était très discret quand il s'agissait de montrer ses sentiments. Quoi qu'il en soit en grandissant mon frère restait protecteur envers nous deux, ma mère et moi, étant le seul mâle de la famille.

C'est vers onze ans que cela a commencé à se dégrader. Vous savez, ce moment où vous rentrez au collège. Je l'ai un peu mal vécu. Je ne voulais pas grandir donc j'ai décidé de faire ma gamine. Un peu comme Peter Pan on me répétait sans cesse « il est temps que tu grandisses » et ce n'était pas mon frère de quatorze ans qui allait prendre ma défense. Au collège, il ne préférait pas me parler, j'étais un peu fuit comme la peste. Pourtant, le soir dès que nous rentions, il me prenait dans ses bras. Je savais qu'il m'aimait. Comment je vivais cette situation ? Mal, plutôt très mal, mais je le cachais, ma mère avait déjà trop de choses à faire et mon frère aussi. Je faisais avec. Je me souviens pourtant d'une jeune fille rousse, qui avait un an de plus que moi qui est venue me voir un jour et m'a dit « hé ça te dit de voir quelque chose d'intéressant ? De super et qui te fera devenir populaire ? » Moi évidemment, douze ans, niaise et enfantine je réponds d'un grand oui. Elle m'a amené dans les bas-fond de Washington, là où il ne vaut mieux pas traîner surtout pour deux fillettes comme nous.

FICHE PAR ROMANE